Un grand penseur, mais non moins grave et confus, dira fort que le poète doit écrire pour l\'Homme, pour traduire les engagements humains, pour exalter une sorte de foi politique, nationale ou religieuse. Un tel penseur parlera selon l\'idée d\'une mission du poète et non par une réflexion sur le beau, sur la poésie dans son essence. Le poète serait, selon lui, un homme à la vision pénétrante, qui lit le monde et se doit, par sa plume, d\'éclairer la conscience des hommes. Et la poésie, et ce que nous appelons poésie, apparaîtrait comme une
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