Depuis peu, un débat sur la nécessité de mettre sur pied une force publique après le départ de la MINUSTAH fait rage chez nous. D\'aucuns proposent le rétablissement de l\'armée. D\'autres, plus méfiants vis-à-vis de la caste militaire et ayant encore en mémoire la soumission de l\'armée à la dictature duvaliériste et aussi ses coups d\'État répétés, privilégient la version « Gendarmerie nationale » ou « la Garde Nationale ».
Peu importe le cas de figure retenu, peu importe la forme que cette force armée prendra, il nous faut, dès le départ
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