La pièce commence sur fond de musique dans un décor limité à sa plus simple expression. On n\'y voit rien qu\'une estrade. Un homme entre en scène, dépenaillé, en noir, canne à la main, chapeau haut de forme à la Charlie Chaplin, c\'est l\'aveugle, puis un autre, en blanc, le boiteux. Le récit, émaillé de dialogues presque monologiques, de réflexions tout haut sur la condition humaine à travers leurs parcours respectifs de déshérités du destin, tiendra un public suspendu à leurs lèvres. Grâce à la grande portée humoristique qu\'il dégage par mo
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