À midi, sur la cour parsemée d\'herbes et de détritus du lycée Pierre Eustache Daniel Fignolé, respirer devient un exercice extrêmement difficile. Les odeurs de matières fécales, conjuguées à la température caniculaire de l\'espace, n\'invitent nullement un nouveau visiteur à s\'y éterniser. Dans les broussailles, comme sur les places bétonnées du lycée, des crottes humaines sont omniprésentes. Quoique abandonné, l\'image que présente aujourd\'hui le lycée Daniel Fignolé dont on revendique à nouveau le fonctionnement n\'est pas plaisante.
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