Enfermés dans leur campement ou tapis derrière des sacs de sable, les Casques bleus de l'Onu ne sortent que dans leurs véhicules blindés pour patrouiller dans les rues vides de Cité-militaire.
Situé à quelques centaines de mètres de l'aéroport international de Port-au-Prince, ce quartier miséreux et surpeuplé est devenu l'une des zones les plus dangereuses de la capitale haïtienne.
"Pas un jour ne passe sans que les groupes armés qui contrôlent tout ici ne se livrent à des échanges de coups de feu avec les soldats de la Minustah", raconte V
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