Jamais deux sans trois. Ce dicton qui remonte à la nuit des temps s'avère, une fois de plus, d'une parfaite exactitude vis-à-vis de la progression chronologique de l'oeuvre de Josaphat-Robert Large. A la suite de ''Les Sentiers de l'enfer'' (1990), un roman envoûtant et lumineux, l'auteur nous a conduit à bout de souffle et d'images hallucinantes vers ''Les Récoltes de la folie'' (1996). Et, là, explorateur d'un domaine interdit, il nous fait parcourir sans arrêt les méandres de l'irrationnel. Au beau milieu d'une sorte de mentisme qui permet
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