L'argent de la diaspora haïtienne est la principale cible des kidnappeurs. Selon des témoignages de parents et de proches de personnes enlevées, un fort pourcentage des rançons exigées est souvent négocié directement avec nos compatriotes vivant aux États-Unis et au Canada.
Les ravisseurs se servent des téléphones portables ou des carnets d'adresses de leurs victimes, font-ils savoir. Et, fort souvent, c'est de l'étranger que parviennent les nouvelles des rapts à la maison des victimes.
Une situation pour le moins préoccupante pour l'éc
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