Par William J. L. Guillaume
Il est de coutume, chez les Haïtiens, de rendre hommage à la valeur de quelqu'un, de témoigner de la grandeur d'âme d'un contemporain, seulement à sa mort; le plus souvent, à travers une oraison funèbre lue avec éloquence par un homme de l'art qui l'a écrite avec de grandes envolées lyriques et de belles joutes oratoires.
Le carcan de cette tradition devrait tomber au constat de certains cas extraordinaires qui méritent qu'on en parle, qu'on les vante et même qu'on les chante.
Le cas de Gérard Jean-Baptist
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