Dans un dispositif de décor, loin d\'être pauvre, bien qu\'elle soit éclopée, tout en drapées de tissus légers rouge et noir, de papier mâché avec un arbre au milieu où chanteurs et chanteuses se juchent pour chanter, acteurs et danseurs s\'érigent en guerriers du « mal caduc » haïtien. A coups de balai, en costumes de couleur ocre, marron, beige, ils veulent faire éclater la surface de la société, (de la poussière ?), les immondices de l\'île. Pour « révolutionner notre mentalité, notre comportement, passer du négatif au positif... », ils en i
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