En dépit de la volonté des juges de travailler, un manque de coordination entre le Parquet et l\'Administration pénitentiaire nationale (APENA) paralyse leurs activités. Ils se plaignent du fait que les prévenus n\'arrivent pas au jour fixé pour être entendus. Parfois ils viennent deux ou trois heures après. Ceux-ci retournent souvent bredouilles dans leurs cellules sans être auditionnés. Ainsi les jours passent. Et le nombre de prévenus augmente considérablement à la prison civile de la rue du Centre.
Des audiences déroulées à la Cour de c