À quatre mois de la fin d’un mandat de transition qui s’est étiré comme un vieux chewing-gum sous le soleil de l'ingérence gouvernementale, le Conseil présidentiel de transition (CPT) découvre soudain qu’il faut organiser des élections. L’horloge démocratique sonne, mais le pays n’a ni sécurité, ni cadre constitutionnel clair, ni confiance populaire, 18 mois après. Entre déclarations, fonds élec
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