Elections / Conflit

Jacques Bernard déçu et persécuté

"Déception, indignation, peur...", tels sont les sentiments qui traversent le directeur général du CEP, Jacques Bernard, quelques jours seulement après la tenue du premier tour du scrutin présidentiel et législatif. En conflit ouvert avec les conseillers Patrick Féquière et Pierre Richard Duchemin, il menace de démissionner si le gouvernement ne rappelle pas les deux conseillers à l'ordre.

Jn Pharès Jérôme
Par Jn Pharès Jérôme
20 févr. 2006 | Lecture : 3 min.
Le directeur général du Conseil électoral provisoire (CEP), Jacques Bernard, et les conseillers électoraux Pierre Richard Duchemin et Patrick Féquière sont à couteaux tirés. M. Bernard dit avoir été, vendredi dernier, l'objet d'agression verbale, au centre de tabulation à la SONAPI. Le directeur général de l'institution électorale, sur les ondes d'une station de radio de la capitale, a dénoncé une campagne de dénigrement menée contre lui par les deux conseillers. Cette campagne de dénigrement, a-t-il dit, vise à détourner l'attention de la
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