À Louis-Philippe Dalembert, l'homme des mots qui guérissent

Merci pour Milwaukee Blues, ce chant douloureux et beau qui nous raconte l'exil intérieur avec une tendresse infinie.

Daniel LAMOUR
25 sept. 2025 — Lecture : 3 min.

Merci pour Milwaukee Blues, ce chant douloureux et beau qui nous raconte l'exil intérieur avec une tendresse infinie. Merci pour L'Autre face de la mer, ce miroir troublant où j'ai reconnu mon enfance, loin de Port-au-Prince mais si proche de nos blessures communes. Merci pour Avant que les ombres s'effacent, cette lumière dans notre obscurité collective.  À travers vos pages, j'ai compris que la littérature n'est pas seulement un art : e

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