Leur colère a fini par faire tomber le gouvernement. Privés de perspectives d'avenir, lassés par l'instabilité politique, désabusés par la corruption, les jeunes ont résolument pris la tête de la contestation meurtrière qui agite le Népal depuis lundi.
Au fil des mois, leur colère contre une élite qu'ils jugent sourde à leurs aspirations et incapable d'accélérer le développement économique de
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