Il est difficile d’écrire un éloge en faveur de Monseigneur Willy Romélus à la première personne. C’est comme s’approprier du personnage de manière égoïste. Cet homme-baobab a couvert de ses branches tellement de générations que ce témoignage que je livre aux lecteurs du Nouvelliste pourrait être aussi celui de milliers d’autres Haïtiens. Mon humble personne se prête néanmoins à cet exercice délicat. Je
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