« Avant le compas direct, la jeunesse ne prenait pas de plaisir », affirme Carlo Glaudin. Son affirmation est le témoignage d’un témoin privilégié des premiers temps du compas, dont il a été l’un des acteurs. Ce qu'il raconte, c'est l'histoire d'un nouveau rythme musical qui prenait davantage en compte les aspirations de l'homme haïtien et qui, de surcroît, s'inscrivait dans une démarche de révolution culturelle pour le p
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