Tu es parti,
mais ton souffle fend encore l’ombre
comme un éclair de mots sur les tôles trouées d’Haïti.
Tu es parti,
et pourtant,
on t’entend
dans chaque silence trop lourd,
dans chaque cri qu’aucune bouche n’ose porter.
Frankétienne,
mapou du verbe,
volcan de spirales,
tu écrivais comme on saigne,
tu parlais comme on se bat
avec tout le corps,
avec toute l’
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