Pèlerin 5, 1 h du matin. Une rafale. Une porte défoncée. Des gardes restés muets. Un président criblé de balles dans sa chambre. Quatre ans plus tard : pas de verdict, pas même un procès. Le pays a tourné la page, la mémoire collective s’efface. Mais la justice, elle, n’a jamais été écrite.
Ce n’est pas seulement un chef d’État que l’on a exécuté cette nuit-là, mais une idé
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous