« Nous mourons le dimanche » de Nathalie Lemaine : un si mortel accident

À Livre en folie cette année, Nathalie Lemaine présente « Nous mourons le dimanche », un récit bouleversant né du deuil le plus intime : la perte de sa fille Sorayah. Entre autobiographie et hommage, l’écrivaine livre un texte d’une force rare, où la mémoire maternelle résiste à l’oubli et interroge la mort avec une sensibilité poignante.

Pierre-Raymond DUMAS
Par Pierre-Raymond DUMAS
13 juin 2025 | Lecture : 2 min.

Nul besoin d’élaborer sur sa présentation. Nathalie Lemaine, née à Port-au-Prince le 26 septembre 1967, a toujours vécu dans sa ville natale, où elle travaille comme professeur de littérature au secondaire. Un accident mortel de la route, celui de sa fille Sorayah, est l’épicentre de ce court texte que je ne m’empresse pas d’appeler roman. L’autobiographie, en plus de l’habituelle introspection intime, c’est aussi la veine idé

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous