Quand la science matérialiste rejoint les grandes traditions spiritualistes

Revenir de la mort

Il existe généralement trois attitudes face à l’existence. Il y a d’abord l’attitude de ceux qui ont trouvé ou, du moins, croient avoir trouvé définitivement la réponse. Cette dernière, ils l’auraient obtenue soit dans une religion, soit dans l’athéisme, le scientisme, le marxisme, le capitalisme, ou dans un «isme »  quelconque. Il s’agit de « gens de foi », fidèles à leurs croyances, dogmatiques, souvent portés au prosélytisme.   Un deuxième comportement s’observe fréquemment. C’est celui de l’homme qui ne s’est jamais interrogé, ne s’interroge pas, n’ose pas s’interroger, car il a à la fois peur de trouver, peur de ce qu’il pourrait trouver et peur de ne pas trouver. Quant à la  troisième attitude, c’est celle des chercheurs, des audacieux, engagés dans une quête constante et qui abordent la question avec courage, ouverture d’esprit et  sans idée préconçue. 

 Si l’on veut comprendre la vie, il faut commencer par appréhender la mort. Vos choix, vos décisions, votre attitude dans la vie dépendent, consciemment ou non, du sens que vous accordez à la mort. Signifie-t-elle la destruction totale, la néantisation ou la continuation de l’existence?  Que se passe-t-il en ce moment ultime? La « religion sans preuve et la science sans espoir », pour répéter Edouard Schuré  et Bertrand Russell, on

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