Depuis fin janvier, Maoro* n'est pas sorti de chez lui. Ce sans-papiers qui vit depuis 37 ans au Colorado reste reclus dans sa maison, par peur de croiser la police de l'immigration américaine.
"C'est pire qu'une prison", confie à l'AFP cet ouvrier du bâtiment d'Aurora, ville de l'Ouest américain au cœur des promesses d'expulsions massives de Donald Trump. "Je me sens déjà malade à force de ne pas aller travailler."
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous