L’action du gouvernement d’Alix Didier Fils-Aimé contre les gangs souffre de trois failles stratégiques majeures compromettant l’efficacité de la Task Force. D’abord, la surmédiatisation des opérations annule l’effet de surprise, permettant aux criminels de se réorganiser. Ensuite, l’absence de coordination rigoureuse et de doctrine d’intervention transforme la lutte en une réaction ponctuelle plutôt qu’en une reconquê
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