L’enfer du regard ou le masque de l’authenticité perdue

« L’enfer, c’est les autres. » Cette métaphore mythique de Jean-Paul Sartre est tirée de «Huis Clos», une pièce de théâtre retentissante de ce philosophe de l’existentialisme. Une telle production intellectuelle offre à l'auteure de «La Trans des Masques», Marnatha I. Ternier, l'occasion d'articuler une réflexion sur l’identité et la liberté face au regard d’autrui.

Marnatha I. Ternier
Par Marnatha I. Ternier
06 mars 2025 | Lecture : 6 min.

« L’enfer, c’est les autres. » Cette métaphore mythique de Jean-Paul Sartre a dépassé le cadre philosophique pour s’enrichir dans le langage courant. Extraite de Huis Clos (1944), une pièce de théâtre retentissante du philosophe de l’existentialisme, transcende la banalité apparente de nos interactions pour dévoiler une vérité dérangeante : le regard d’autrui façonne carrément notre libert&eacut

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