Les rares images obtenues et les récits collectés sont horribles. A certains égards, les référents renvoient à des méga productions hollywoodiennes comme les « Les larmes du soleil ». Sauf que l’on n’est ni dans la brousse africaine ou à Boutcha, en Ukraine. L’horreur, enveloppée d’ordinaire, continue de se dérouler dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince.
A Delmas 30, Christ-Roi, Tabarre 25 et 27
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