Aimer. Voilà « le » mot qui nous vient pour parler de Frankétienne, disparu ce jeudi 20 février à Port-au-Prince. « Ma ville matrice / ma ville tapage / haussant la mise en page de mes nuits de terreur / quand violemment j'écris », ainsi évoquait-il la capitale haïtienne dans Rapjazz (Mémoire d'encrier). Recouvrant aujourd'hui son île d'un soleil noir, il en fut – et reste
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