De manière individuelle, l’individu qui quitte son pays d’origine pour aller travailler dans un pays d’accueil considère comme un privilège le fait d’arriver dans un pays étranger assez souvent et trouve facilement du travail pour pouvoir consommer, se vêtir et aussi envoyer de l’argent à des parents restés au pays natal. Mais le migrant réalise rarement son poids dans l’économie du pays d’accueil, analyse l’économ
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