La science. La défaillance. La survivance. Il y a ces mots descripteurs et causatifs d’un cercle vicieux qui ne cesse d’émouvoir : le marché des tissus humains. Depuis leur avènement dans les années 1950, les transplantations d’organes ont été salvatrices d’innombrables vies. Étant des procédures thérapeutiques, c’est la science qui les conçoit, prétextant la défaillance de pièces d’êtres vivants,
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