Charles de Gaulle disait des partis politiques français qu’ils cuisaient leur petite soupe sur leur petit feu. On pourrait écrire autant en ce qui concerne les chambres patronales haïtiennes dont le silence est assourdissant et le nombre, pour un échiquier comme le nôtre, ahurissant. Leur vocation première est certes de défendre des intérêts corporatifs, mais la conjoncture alarmante et désespérante dans laquelle vit le pays commande qu’elles se rasse
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