Ne fût-ce de ma grande crampe de l’écrivain … Cette grande période d’étiage que certains ont pu juger comme un désintéressement à la situation difficile du pays. Ce pays que j’aime tant. Ce pays que je juge tant. Ce pays qui me tue tant. Ce pays insolite et en même temps mortifère dans tous ces revers. Ce pays où le laid, dans toute sa laideur excessive, et le merveilleux, dans toute sa splendeur, cheminent comme deux collégiens, à l
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