Pour les gens de ma génération, « Conan the barbarian » (Conan, le barbare) (1982) [par lequel Arnold Schwazenegger fit une entrée remarquée dans le 7e art] devait susciter un vif intérêt. Par la suite, sa filmographie déroule. En effet, les rôles s’enchaînent. On allait apercevoir sa fermeté de ton, en même temps son élégance racée, sa noblesse, son allure majestueuse. Autour de lui se dégag
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