Dispariton/

La haute stature de James Earl Jones

Ce qui frappe à premiere vue chez James Earl Jones, c’est sa carrure. Impressionnnante, imposante carrure. Sa rondeur sympathique. Sa bonhomie que ponctue un sourire bienveillant. Puis, éclate son jeu impeccable. Du coup, le cinéphile est accroché, conquis.

Jean-Claude Boyer
Par Jean-Claude Boyer
30 sept. 2024 | Lecture : 3 min.

Pour les gens de ma génération, « Conan the barbarian » (Conan, le barbare) (1982) [par lequel Arnold Schwazenegger fit une entrée remarquée dans le 7e art] devait susciter un vif intérêt. Par la suite, sa filmographie déroule. En effet, les rôles s’enchaînent. On allait apercevoir sa fermeté de ton, en même temps son élégance racée, sa noblesse, son allure majestueuse. Autour de lui se dégag

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