L’espace vital déjà précaire des habitants de l’aire métropolitaine de Port-au-Prince se rétrécit considérablement au gré des bandits armés qui sèment la terreur, la désolation et la mort, depuis le déclenchement des activités terroristes des membres de la coalition criminelle « Viv Ansanm » au mois de février dernier. De la commune de Gressier à celle de Cabaret, en passant par Carrefour, le bas de Delmas,
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