Recension critique

Avant que les ombres s’effacent, avant que l’humanité s’estompe

Partager des expériences de vie, se représenter le vécu de son prochain, se reconnaître dans l’autre, tel est le constant de la littérature.

Partager des expériences de vie, se représenter le vécu de son prochain, se reconnaître dans l’autre, tel est le constant de la littérature. Elle nous invite à saisir que vivre est un entrelac de rencontres avec soi-même et son milieu, que l’autre est un prolongement un peu déformé de soi-même dans les aléas de l’existence. Il est des productions littéraires qui ont le mérite de développer l’aspect social de l’i

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous