Mois du patrimoine

Rachelle Scott, la peinture comme moyen de tisser des liens

Rachelle Scott, née à Port-au-Prince (Haïti), est initiée dès son plus jeune âge au monde des couleurs, chez Solange Gentil et le grand maître TiGa de l’école Saint-Soleil. Depuis, la peinture ne la quitte plus. À 17 ans, elle part pour Boston faire des études d’art à l’Université de Massachusetts. Au cours des années, elle obtient plusieurs diplômes, dont celui en ressources humaines et en administration d’entreprises avec honneur. Elle vécut près de 20 ans aux Etats-Unis avec son ainée Stéphanie et connut une brillante carrière en gestion dans de grandes multinationales en charge de l’Amérique latine, ce qui l’amena à visiter de nombreux pays.  Dans le cadre du mois du patrimoine haïtien elle vient de participer à l’exposition « Ayiti nan kè m » au centre culturel de Little Haïti aux Etats-Unis.

Marc Sony Ricot
Par Marc Sony Ricot
07 mai 2024 | Lecture : 3 min.

LN : Au centre culturel de Little Haïti, en ce mois du patrimoine, y a-t-il un thème central ou un concept qui lie toutes les œuvres présentées ?

Rachelle Scott : Haïti ! Notre mère patrie est le souffle vibrant qui lie les œuvres et les artistes ici présentés. C’est dans le cadre du mois du patrimoine haïtien au centre culturel de Little Haïti que cette exposition a été organisée p

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous

Lire aussi