Au lendemain du «kidnapping» du président Aristide (je repète sans commentaires l\'interprétation même de ce dernier des événements houleux qui ont ponctué son départ du pouvoir le 29 février 2004), personne n\'avait réagi défavorablement quant à la composante militaire massivement brésilienne de la MINUSTAH (alias TOURISTAH, selon la malice populaire) et pour causes.
Aujourd\'hui, Apaid, Boulos, chefs de parti et candidats, militants des droits humains, GNBistes déçus et compagnie s\'acharnent - à raison, bien sûr - sur l\'irresponsabilit