La capitale haïtienne, contrairement à son habitude, s’est réveillée ce vendredi 1er mars dans une atmosphère de quiétude apparente qui contraste grandement avec son état de fourmillement habituel et surtout avec le tumulte infernal provoqué la veille par les gangs armés qui ont fait parler la poudre et laissé derrière eux un cortège de feu, de sang, de cadavres, de dommages inestimables et de peur. Ce matin encore, les rues de Port-au-Prince donnent l’image d’une ville en congé.
Aucun signe d’écoliers en uniforme da
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