La semaine s’achève avec les informations sur les fonds et accomplissements du basket funds, les péripéties judiciaires autour de l’envoi de policiers du Kenya en Haïti et les révélations sur les difficultés de l’administration américaine pour financer la mission multinationale d’appui à la sécurité. Aider la Police Nationale d’Haïti et les Haïtiens à sortir du piège de l’insécurité s’avèrent plus compliqués de jour en jour. C’est avec tous ces paramètres en perspective que nous publions ci-après une lettre que Maria Isabel Salvador, Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies a adressé à Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste. La lettre est à lire. La réponse du Rédacteur en chef tient lieu d’éditorial.
Cher Monsieur Duval,
J'ai récemment pris connaissance de votre article intitulé "Pour savoir pourquoi la PNH est si faible…" publié le 30 janvier dans Le Nouvelliste, et je tiens à saluer votre dévouement pour mettre en lumière des questions d'importance nationale, en particulier le soutien financier apporté à la Police nationale haïtienne.
Bien que je reconnaisse l'importance d'évaluer de manière critique la
