Comme en 1993-1994 (la période tumultueuse du coup d’État embargo) et en 2001 -2004 (le second mandat du président Jean-Bertrand Aristide, marqué par le mouvement GNBiste et le soulèvement armé mené par l’ex-commissaire de police Guy Philippe), les Haïtiens, malgré la médiation bienveillante de la Caricom et les sanctions/pressions internationales, ne voient pas dans le désastre ambiant une occasion historique de faire avancer la cause du pays.