A la rencontre de paysans du bas Maribaroux

Loin des projecteurs, encore très loin du chantier du canal sur la rivière Massacre par rapport à leurs champs, de nombreux paysans qui vivent de l’agriculture espèrent que le canal solutionnera en partie leurs problèmes. Pour certains, il faudra encore plus.

François ne se rappelle pas son âge, mais il se souvient que toute la région du bas Maribaroux dans le Nord-Est était plantée en riz durant sa jeunesse. « Il y avait des denrées alimentaires en abondance dans la région. On ne souffrait pas de faim. On n’était pas si dépendant de la République dominicaine », balance François. Depuis plusieurs années, le sexagénaire, qui revient de son champ peu avant midi apr&

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