Si les institutions de l’État s’appliquaient à garantir une bonne gouvernance en n’acceptant en leur sein que des personnes respectables, respectées, choisies et nommées par le peuple, ce dernier serait-il condamné à n’avoir où reposer la tête ? Occupant(s)de facto de la Primature, de la Présidence, de la Justice et alignés vous agissez comme « des chiens voraces, insatiables ; comme des conducteurs qui ne savent rien comprendre&nb
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous