Seuls les médias sociaux seraient à même de garantir la liberté de communication. Ici, il ne s'agit nullement de la liberté de la presse, laquelle correspond à cette liberté qui tiendrait compte de la souveraineté des journalistes. La liberté de communication répond plutôt au loisir « … pour chaque citoyen, à pouvoir inscrire un thème de discussion publique à l'ordre du jour de l'agenda politique » (Ferry, 199
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