Grève/MINUSTAH/Insécurité

Ville blanche, carton rouge à l'insécurité...

La zone métropolitaine et certaine grandes villes de province dont Jacmel, Cap-Haïtien... sont entrées dans une hibernation presque totale le lundi 9 janvier 2005, à l'occasion d'une grève générale pour dénoncer le laxisme de la MINUSTAH à lutter contre les gangs armés qui sèment la terreur dans le pays. Le patron de la mission onusienne, Juan Gabriel Valdès dit comprendre la frustration des Hadïtiens face à l'insécurité et au kidnapping, promet d'agir pour obtenir plus d'efficacité et souligne qu'Haïti ne gagne rien en lançant sa rage contre la communauté internationale...

Roberson Alphonse
robersonalphonse@yahoo.fr
Par Roberson Alphonse robersonalphonse@yahoo.fr
10 janv. 2006 | Lecture : 3 min.
L'appel à la grève lancé par le secteur privé des affaires le lundi 9 janvier 2005 pour dire non à l'insécurité et forcer la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation d'Haïti (MINUSTAH) à assumer ses responsabilités, a été largement suivit au niveau de la zone métropolitaine et de nombreuses villes de provinces. Le transport en commun, les banques commerciales, le commerce formelle et informelle n'ont pas fonctionné. Au centre-ville de Port-au-Prince, les portes des magasins sont restés fermées et les tréteaux des étalagistes empilés
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