L'appel à la grève lancé par le secteur privé des affaires le lundi 9 janvier 2005 pour dire non à l'insécurité et forcer la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation d'Haïti (MINUSTAH) à assumer ses responsabilités, a été largement suivit au niveau de la zone métropolitaine et de nombreuses villes de provinces. Le transport en commun, les banques commerciales, le commerce formelle et informelle n'ont pas fonctionné.
Au centre-ville de Port-au-Prince, les portes des magasins sont restés fermées et les tréteaux des étalagistes empilés