Monsieur Roberson Alphonse,
Permettez-moi de vous faire remarquer d’emblée que je n’ai pas mis la Chancellerie dans une situation délicate. J’éprouve un profond respect pour les institutions de la République. Je n’étais au courant d’aucune clause qui me recommandait d’informer l’ambassade avant de me déplacer. En fait, quand j’ai été contacté par le MAE, j’avais confirmé que je m’étais d&ea
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