Carte blanche à Jean-Claude Boyer

Des souvenirs inoubliables avec « Le Doyen»

Le Nouvelliste est avant tout un lieu de rencontres. Y collaborent de belles plumes. Compte tenu de la différence de générations, le lecteur que je suis n’a pas eu le privilège de les côtoyer toutes. Cependant, soit dans les livraisons quotidiennes on faisait connaissance avec Fortuné. L. Bogat « Le Dilemme américain», Lallier C. Phareau, Maurice P. Dellile, Dr René Piquion… (années 1970), soit en voyant déambuler dans la ville Gerson Alexis, Gérard Jolibois, Laurore St-Juste, Aubelain Joliœur. Puis devaient venir les brèves rencontres personnelles (pour cause) avec le patriarche Lucien Montas, drapé dans son impassibilité à son bureau, la lithographie «L’Attente» de Simil accrochée au mur. Après le 7 février 1986, je ne me souviens pas qu’un seul de mes textes à lui confiés ait moisi dans le tiroir de son bureau.

Jean-Claude Boyer
Par Jean-Claude Boyer
04 mai 2023 | Lecture : 6 min.

Été 1989, avant et après un voyage qui m’a amené à New York et à Washington, mes comptes rendus de lecture sur le recueil de poèmes « Le Pain de l’Exil» de Marc A. Christophe, sur « Mots de Passe» de Raymond Chassagne sont bien accueillis par l’homme au cigare.

Accueil enthousiaste d’un livre de Carlo

Dans les derniers jours de l’année 1992, vente-signature de l’ouvrage «1963&nb

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