Mireille Pérodin vient de rejoindre Jean-René Jérôme dans un lieu précis de notre mémoire encore émue. J’ai connu Jean-René bien avant de rencontrer Mireille. C’était à Petit-Goâve au début des années 60 quand le jeune peintre venait passer les vacances d’été avec sa famille, chez l’arpenteur Nathan. C’était un jeune homme un peu joufflu qui sautillait gracieusement en marchant, souvent en uniform
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous
