Il était environ trois heures de l’après-midi lorsque Pat Cash a donné le ton. Suivie par des dizaines d’adeptes, la bande a attiré les curieux à chaque rue. “Apa gen kanaval ane a” a lâché une dame dans la trentaine. Elle a bien profité de l’ambiance qui régnait pour s’amuser un peu.
Quelques mètres plus loin, Mabouya Band, l’un des ténors de la ville et Vèkèlè Band, une révélation de l’année dernière, mettaient le feu à travers les rues. Elles ont drainé une foule qui grossissait à chaque carrefour. Ces bandes à
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