Sur le plan de la critique, rares sont les littérateurs, haïtiens ou étrangers, qui ont accordé une place de choix à la littérature nationale d’Haïti en ayisyen, dans leurs travaux de recherche. Maximilien Laroche est le premier critique qui ait accordé une place de prédilection à l’oraliture d’Haïti ainsi qu’à la littérature créole dans ses travaux. Il s’en est servi dans ses réflexions littéraires ou philosophiques. Il a même développé un modèle de poétique créole pour démontrer le passage de l’oraliture à l’écriture. D’ailleurs, se
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