Enlèvements ou kidnapping à gogo, déliquescence ou gangstérisation de la force de police, crise politico-institutionnelle radicale, absence de l'autorité de l'Etat ,etc., tels sont en quelques hachures d'idées les symptômes des conjonctures de 2004 et post-Jovenel Moïse. Alors? Toutes les crises (politique, institutionnelle, constitutionnelle, sécuritaire, judiciaire, électorale, économique,morale, agricole, etc.) sont entremêlées: elles forment un grand ensemble, un tout. Le vide démocratique est profitable au chaos exacerbé par l'in
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