Apprendre, une entreprise sans fin. On intègre les premiers rudiments, puis on attaque les gros morceaux. Parvenu au terme du cycle, on se dit que c’est acquis. Or, rien n’est acquis à l’homme, ni son courage, ni sa faiblesse, pour parodier Louis Aragon. Ni sa peur… précisément, nous vivons avec la hantise de perdre les acquis. Alors, nous nous efforçons de continuer à potasser. Pour ne pas être dépassé. Par n’importe quoi. Les progrès scientifiques, surtout.
Mon frère Yves et moi avons constitué au fil des années une bibliothèq
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