« Les gens étaient si nombreux qu'elles ont failli endommager la porte d'entrée du bureau de l'immigration. Avant hier, la police a dû intervenir », a déclaré Jean Wilson, directeur du bureau de l'immigration à un confrère de la presse.
Malgré la pluie incessante qui s'abat sur le centre-ville, la hausse du prix de transport, de plus en plus de personnes se déplacent pour venir au CRLDI dans l'espoir qu'elles auront leurs documents (passeport, extrait d'archives, etc.) dans un délai raisonnable ne dépassant pas un mois.
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