Le cri ne sort pas. Il reste coincé dans ma gorge. Les battements de mon coeur remuent tout mon être. Seuls mes yeux parlent pour moi. Les larmes, à ma bouche, ont un goût amer. Ginoue. Ginoue. Ginoue... Je t'aimais pour ton amour de la culture haïtienne. Je t'aimais pour ta contribution au cinéma et à la musique de notre pays. Sur des milliers de petits écrans, ton large et franc sourire manqueront à des milliers de coeur. Au mien aussi. Je t'envois ce billet. Fais attention. Il est larme et est écrit en larmes.
Comme un coup de poignard, l
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous